La Grande-Duchesse a participé à l’ouverture du 68e Congrès de l’Union internationale des avocats (UIA) à Paris. Elle est intervenue comme invitée d’honneur lors d’une session spéciale dédiée aux violences sexuelles en zones de conflit. « Aujourd’hui comme hier, l’indignation ne suffit plus, nous devons passer des débats à l’action. »

La Grande-Duchesse a réaffirmé son engagement à travers la création de son association Stand Speak Rise Up!, dès 2019. Egalement aux côtés de Céline Bardet, présidente de We are not Weapons of War et administratrice de Stand Speak Rise Up!, La Grande-Duchesse a encouragé une mobilisation collective pour mettre fin à l’impunité qui entoure ces crimes horribles.

Introduite par Jacqueline Scott, présidente de l’UIA, et Valérie Dupong, ancienne bâtonnière de Luxembourg, la Grande-Duchesse a été rejointe par Julie Couturier, présidente du Conseil national des barreaux. Puis par Vanessa Bousardo, vice-bâtonnière du Barreau de Paris.
Celles-ci ont salué son engagement et rappelé l’importance de la mobilisation juridique pour lutter contre le viol de guerre.

En fin de journée, elle s’est rendue à la Maison UNESCO, où elle a réaffirmé son engagement comme Ambassadrice de bonne volonté de l’UNESCO et « Eminent Advocate for Children » pour l’UNICEF. Elle a dénoncé le viol comme « l’arme la moins chère connue de l’Homme, visant à intimider, dégrader et terroriser. » Enfin, a souligné l’urgence de renforcer les cadres juridiques, d’assurer justice et réparation aux victimes, et de soutenir les enfants nés de ces violences pour leur garantir un avenir digne.